49. Besoin de rien (Anonyme)
Sur le chemin de la destinée,
Je ne savais pas que vous seriez
Le plus beau cadeau que la vie me ferait
Sur ce chemin tourmenté,
Telle une divine et intrépide cruauté,
La passion a encore gagné
Et dans ces souffrances effrénées,
Mon esprit s'en est exalté de nos regards lacés,
Vos yeux ont enfin percé tous mes secrets
Comme un jet de feu follet inavoué,
Je vous ai déjà pardonné,
J'ai succombé aux désirs les plus indiscrets
Je me nourris encore de vos baisers tant convoités,
Mes pensées pourrissent l'espoir de vous mériter,
Mon coeur vous aime, mon Adoré, pour l'Éternité.
Citations
C'est la société d'autrui qui enseigne à l'homme ce qu'il sait (Euripide).
Il n'y a, en amour, de bonheur durable et complet que dans l'atmosphère translucide de la sincérité parfaite (M. Maeterlinck).
Tu pars pour un jour, emporte des biscuits pour deux jours ; tu voyages l'été, emporte tes habits d'hiver (proverbe chinois).
Qui se mêle au son sera mangé par les cochons (proverbe allemand).
Il n'y a, en amour, de bonheur durable et complet que dans l'atmosphère translucide de la sincérité parfaite (M. Maeterlinck).
Tu pars pour un jour, emporte des biscuits pour deux jours ; tu voyages l'été, emporte tes habits d'hiver (proverbe chinois).
Qui se mêle au son sera mangé par les cochons (proverbe allemand).